Toute la modernité de la comtesse de Ségur dans cet ouvrage écrit en 1867. Un titre ironique pour un texte dont la qualité d'écriture égale la finesse d'analyse. On retrouve le portrait de la bonne société parisienne du Second Empire mais surtout le portrait d'une fillette que l'amour mal dirigé de ses parents conduit au malheur. Avec une postface de François Labadens des Cahiers Séguriens qui analyse le personnage de Gisèle. Texte intégral. Couverture mate, reliée.