Avec Monclar
Au moment de sa disparition en 1964, tout le monde connaissait le général Monclar.
Né à Budapest de père inconnu, le jeune Raoul Magrin-Vernerey a 16 ans quand la Légion le refuse : trop jeune ! Admis à Saint-Cyr, il prend part à tous les combats de l’armée française à partir d’août 1914. C’est un officier multi-blessé, multi-décoré qui intègre enfin la Légion en 1924. En juin 1940, il participe à la victoire de Narvik en Norvège. Deux semaines plus tard, il est l’un des premiers officiers supérieurs à rejoindre les Forces françaises libres en Angleterre. À partir de ce moment, il prend le pseudonyme de Monclar, nom de guerre qu’il conservera. En 1950, le général s’illustre au commandement du bataillon français engagé dans la Guerre de Corée. Infatigable combattant, patriote acharné, âme de militaire tout terrain, Monclar est ainsi devenu un héros de légende.
Né à Budapest de père inconnu, le jeune Raoul Magrin-Vernerey a 16 ans quand la Légion le refuse : trop jeune ! Admis à Saint-Cyr, il prend part à tous les combats de l’armée française à partir d’août 1914. C’est un officier multi-blessé, multi-décoré qui intègre enfin la Légion en 1924. En juin 1940, il participe à la victoire de Narvik en Norvège. Deux semaines plus tard, il est l’un des premiers officiers supérieurs à rejoindre les Forces françaises libres en Angleterre. À partir de ce moment, il prend le pseudonyme de Monclar, nom de guerre qu’il conservera. En 1950, le général s’illustre au commandement du bataillon français engagé dans la Guerre de Corée. Infatigable combattant, patriote acharné, âme de militaire tout terrain, Monclar est ainsi devenu un héros de légende.